Mathématiques en CP, CE1 et CE2 (cycle 2) page 36 - fiches de préparation, séquences

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CE1
Les solides

Géom.

3 séance(s)

Cette séquence est une introduction à la notion de solide.

Objectif(s)

Reconnaitre, nommer, décrire, quelques solides droits : cube, pavé, …….

Séances :

  1. Le tri des solides
  2. Reconnaître des solides
  3. Entrainement
CM2
Les quadrilatères Dimancherie

Géom.

4 séance(s)

Connaître les quadrilatères

Objectif(s)

Connaître les propriétés des quadrilatères particuliers : le rectangle, le losange, le parallélogramme et le carré.

Séances :

  1. Le losange et le rectangle
  2. Le losange et le rectangle#2
  3. Le carré
  4. Les quadrilatères particuliers
CE2
Multiplier par 10, 20, 30...

Nb./Calc.

5 séance(s)

Calcul réfléchi en vue de faciliter l'apprentissage de la multiplication par un nombre à 2 chiffres.

Objectif(s)

L'élève est capable de multiplier un nombre à 1, 2, 3 ou 4 chiffres par 10, 20, 30.

Séances :

  1. Je découvre la multiplication par 10, 20, 30...
  2. Je m'entraine
  3. Je transfert pour multiplier par 30, 40, 50...
  4. Je m'entraine
  5. Evaluation sommative
CE1
tracer un carré, un rectangle, un triangle rectangle

Géom.

5 séance(s)

Découvrir les propriétés des carrés, rectangles et triangles rectangles pour pouvoir les identifier et les tracer L'objectif est d'être capable de réaliser et produire des programmes de constructions.

Objectif(s)

- Utiliser la règle, le compas ou l'équerre comme instruments de tracé. - Décrire à partir des côtés et des angles droits, un carré, un rectangle, un triangle rectangle. Les construire sur un support uni connaissant la longueur des côtés.

Séances :

  1. tracer un carré
  2. Le Rectangle
  3. Entrainement
  4. Correction/remédiation
  5. Évaluation
CP
Ajouter ou enlever une unité en prenant appui sur une représentation ordinale ou cardinale.

Nb./Calc.

1 séance(s)

Les enfants acquièrent la suite orale des nombres entre deux et sept ans. Ils utilisent la file numérique pour dire les nombres et se les représenter dans l’ordre mais ils ne font pas d’emblée le lien avec la cardinalité du nombre. Cette unité s’intéresse au lien entre l’aspect cardinal et ordinal d’un nombre et traduit de manière explicite l’apprentissage du nombre ordinal.

Objectif(s)

-Faire le lien entre le rang dans une liste (ordinal) et le nombre d’éléments qui le précèdent (cardinal). -Repérer un rang ou une position dans une file ou sur une piste, nommer les positions d’un élément par rapport à un autre, distinguer à l’oral et à l’écrit les nombres ordinaux.

Séances :

  1. Distinguer l'aspect ordinal d'un nombre et l'aspect cardinal.
CP
Mes petits problèmes

Nb./Calc.

2 séance(s)

Travail sur une pèriode des 3 types de problèmes sous forme d'escape game.

Objectif(s)

- Résoudre des problèmes issus de situations de la vie quotidienne ou adaptés de jeux - Résoudre des problèmes relevant des structures additives (addition/soustraction). - Modéliser ces problèmes à l'aide d'écritures mathématiques.

Séances :

  1. Chasse aux trésors hebdomadaire
  2. Chasse au trésors : hebdomadaire Séance 2
CP
L'addition et la soustraction jusqu'à 20 avec la méthode de Singapour de La librairie des Écoles

Nb./Calc.

9 séance(s)

Contexte Dans les unités 4 et 5, les élèves ont appris à appréhen- der l’addition et la soustraction de diverses façons. Ils ont découvert le sens de ces deux opérations, ont ac- quis des stratégies pour additionner et soustraire deux nombres à un chiffre allant jusqu’à 10 et ont commen- cé à mémoriser des faits additifs simples grâce à une utilisation répétée des familles de nombres (unité 2). Ils ont également produit et utilisé de multiples re- présentations des processus additif et soustractif et ont résolu des problèmes inventés ou donnés impli- quant les deux opérations. Dans l’unité 7, les élèves ont ensuite appris que ces mêmes chiffres de 0 à 9 étaient utilisés pour former les nombres supérieurs à 10. Au cours de cette unité, l’accent a été mis sur la décomposition des nombres de 11 à 19 en « 10 + U », où U représente le nombre d’unités. Bien entendu, le nombre 20 peut s’écrire « 10 + 10 ». Objectif Dans cette unité, les élèves vont être amenés à revoir les notions fondamentales de l’addition et de la soustraction qu’ils ont déjà acquises, en les appliquant cette fois-ci aux nombres allant jusqu’à 20. Ce faisant, ils vont approfondir leur compréhension des concepts- clés, améliorer leur façon de procéder et acquérir de nouvelles stratégies de calcul pour additionner de grands nombres. Réviser certaines notions Au début de l’unité 8, les élèves commencent par inventer des histoires d’additions et de soustractions à partir d’une image (séance 60). Aux séances 61 et 64, ils révisent les stratégies consistant à compter à partir d’un nombre et à compter à rebours, appliquées à l’addition et à la soustraction d’un petit nombre à un nombre plus grand. Les séances 68 et 69 offrent aux élèves des occasions variées de s’exercer à la résolution de problèmes. Les familles de nombres sont utilisées tout au long de l’unité 8. Elles présentent l’avantage supplémentaire de créer des égalités entre les deux parties et le tout. Par exemple, la famille de 17, 7 / 10 / 17, permet d’obtenir 4 égalités apparentées : 7 + 10 = 17 17 – 10 = 7 10 + 7 = 17 17 – 7 = 10 Les deux égalités de la colonne de gauche reflètent la propriété commutative de l’addition, tandis que les paires figurant sur chaque ligne illustrent la relation de réciprocité entre l’addition et la soustraction (séance 67).La décomposition : une base pour de nouvelles stratégies Décomposer puis recomposer de façon différente (que ce soit des nombres ou d’autres objets mathématiques) constitue une habitude mentale qu’il faut cultiver dans la pratique des mathématiques. La décomposition associée aux familles de nombres constitue le point de départ de nouvelles stratégies de calcul. Former des groupes de 10 Lorsqu’on additionne deux nombres à un chiffre, on décompose d’abord l’un des deux nombres pour former un groupe de 10 avec l’autre nombre, puis on ajoute les unités restantes (séance 62). 8+5 5=2+3 8+2=10 8+5 8=3+5 5+5=10 Additionner les unités Lorsqu’on additionne un nombre à un chiffre à un nombre à deux chiffres, on additionne d’abord les unités, puis on rajoute le 10 (séance 63). 13+6 ajouter 6 à 3 10 3 Lorsqu’on soustrait un nombre à un chiffre d’un nombre à deux chiffres (où le premier est inférieur au nombre d’unités du second), on le soustrait des unités, puis on rajoute le 10 (séance 65). 17-5 10 7 ôter 5 de 7 Soustraire du 10 Lorsqu’on soustrait un nombre à un chiffre d’un nombre à deux chiffres (où le premier est supérieur au nombre d’unités du second), on le soustrait du 10, puis on rajoute les unités restantes (séance 66). 17-9 ôter 7 de 9 10 7

Objectif(s)

Objectif sur le plan mathématique : approfondir la compréhension des notions et des processus de l’addition et de la soustraction. Acquérir de nouvelles stratégies additives et soustractives adaptées à des nombres plus grands et savoir résoudre et modéliser des problèmes à l’aide de l’une ou l’autre des opérations. Comprendre qu’il existe de nombreuses manières d’additionner et de soustraire.

Séances :

  1. Observons l'image.
  2. Additionnons en comptant à partir d’un des nombres
  3. Additionnons en décomposant un des nombres
  4. Additionnons en décomposant le plus grand nombre
  5. Soustrayons en comptant à rebours (2)
  6. Soustrayons en décomposant le plus grand nombre (2)
  7. Égalités dans les familles de nombres
  8. Résolvons des problèmes (1)
  9. Résolvons des problèmes (2)
CP
Les formes dans la méthode de Singapour de La Librairie des Écoles

Géom.

8 séance(s)

Classer Le processus de classification est très répandu dans un apprentissage qui fait appel à la compréhension. C’est une composante du processus de développement des concepts mathématiques et un outil puissant dans la manipulation d’idées mathématiques. Par exemple, dans l’unité 1, les élèves ont appris qu’il y avait un concept en commun entre un ensemble de huit pommes et un ensemble de huit hamsters, que l’on peut voir en faisant correspondre une pomme à un hamster. Alors que leurs éléments sont différents, les deux ensembles peuvent être décrits avec le mot « huit » qui indique une propriété commune. C’est ainsi que le concept abstrait de nombre se forme. La géométrie fournit aux élèves des occasions similaires lors du classement des formes en sous-groupes. On regroupe les carrés parce qu’ils ont tous « la même forme ». Ils peuvent avoir des tailles, des couleurs ou des orientations différentes, mais ils sont semblables car ils ont en commun les propriétés qui font d’eux des carrés. Classer demande à un enfant d’avoir à l’esprit le concept de « carré », qui est une abstraction de ses multiples expériences avec des exemples spécifiques de ce concept. Nommer et saisir les propriétés Il est important de connaître le nom exact des objets mathématiques, mais plus encore de percevoir et d’apprendre leurs propriétés. Se rendre compte des raisons qui entraînent un regroupement spécifique, discuter de la similitude des formes et de leurs différences fait émerger leurs caractéristiques et leurs propriétés. Les élèves réfléchissent à des questions telles que « Qu’est- ce qui fait qu’un triangle est un triangle ? » ou « En quoi les triangles sont-ils différents des carrés ? » Décomposer et composer Dans tous les domaines des mathématiques et à tous les niveaux, on décompose et/ou on compose. Dans l’unité 2 par exemple, les élèves décomposent les nombres jusqu’à 10 selon toutes les paires possibles, et dans l’unité 7, ils ont appris que les nombres de 11 à 19 sont composés d’une dizaine et d’unités. En géométrie, on peut considérer les formes comme étant composées d’autres formes (une figure en forme de maison est composée d’un triangle au-dessus d’un carré). Dans cette unité, les enfants décomposent un triangle en deux triangles plus petits pour faire un carré ou assemblent un carré et deux triangles pour composer un rectangle par exemple. Ils peuvent aussi utiliser des cubes multidirectionnels pour construire des formes variées en 3D qu’ils appellent des solides. Comprendre et créer des suites de formes Dès leur plus jeune âge, les enfants sont confrontés à des suites de couleurs, tailles, formes, dessins, mots, nombres, sons, rythmes, mouvements ou objets. Il y a des suites partout ! Les mathématiques elles-mêmes sont la science des suites. Les suites (le fait de reconnaître un motif et de le généraliser) occupent une place centrale dans le raisonnement algébrique. Dans cette unité, les élèves observent, complètent, dessinent et créent des suites répétitives avec des figures ou des solides de la forme AbAb, AbCAbC ou AAbAAb. Le plus important est qu’ils apprennent à repérer le motif qui se répète : c’est le cœur de la structure de la suite.

Objectif(s)

Les propriétés spatiales et géométriques de notre monde physique sont parmi les premières idées mathématiques à émerger tant dans le développement des mathématiques par les civilisations anciennes que dans le développement intellectuel des enfants. Les jeunes enfants entrent à l’école avec des idées rudimentaires sur les formes et l’espace, sur lesquelles viendra se construire leur apprentissage de la géométrie. En entrant au CP, les élèves savent identifier des figures comme les cercles, les carrés, les rectangles et les triangles. Beaucoup d’entre eux savent aussi reconnaître des solides même s’ils n’en connaissent pas les noms. Dans cette unité, les enfants vont enrichir leurs connaissances géométriques par l’observation attentive de formes diverses, leur comparaison et la découverte de leurs propriétés. Développer des images mentales, discuter, dessiner et construire des formes sont des activités à travers lesquelles les élèves apprennent à connaître les caractéristiques importantes des formes. Apprendre les mathématiques nécessite pour chaque élève d’utiliser plusieurs processus de raisonnement qu’on appelle « grandes idées » : des concepts généraux qui en relient beaucoup d’autres, des procédures et des problèmes concernant un ou plusieurs domaines et qui sont fondamentaux dans l’établissement de connexions. Les quatre grandes idées de cette unité sont décrites ci-dessous.

Séances :

  1. Observons l'image.
  2. Classons les figures (1)
  3. Classons les figures (2)
  4. Nommons les figures
  5. Nommons les solides
  6. Créons des figures
  7. Créons des suites de formes
  8. Ce que j'ai appris
CP
Les nombres jusqu'à 20 dans la méthode de Singapour de La Librairie des Écoles

Nb./Calc.

7 séance(s)

Les irrégularités de la suite numérique L’apprentissage de notre système de numération décimale s’appuie sur la mémorisation de la comptine numérique, qui correspond à l’ordre des mots-nombres énoncés à l’oral. Or, dans ce système, il n’y a pas de congruence entre les mots-nombres à l’oral et l’écriture chiffrée. Après dix, les nombres onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize sont complètement « opaques », alors que les nombres suivants retrouvent une régularité (dix-sept, dix-huit, dix-neuf). Dans d’autres systèmes, en particulier le système asiatique, les dénominations sont explicites puisqu’on dit « dix-un », « dix-deux », « dix- trois », etc., et « deux-dix » pour vingt, « trois-dix » pour trente, etc. Ce système permet aux élèves asiatiques de visualiser plus naturellement le passage à la dizaine suivante. La numération décimale de position Le système décimal est basé sur dix symboles, les dix chiffres arabes (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) et sur la valeur positionnelle de chaque chiffre. La valeur du chiffre augmente dans un nombre de droite à gauche. Pour le nombre 134 par exemple, le 4 de droite vaut 4 unités, il est plus petit que le 3 qui vaut 3 dizaines, et que le 1 qui vaut 1 centaine. Cette compréhension est fondamentale. Elle permet aux élèves d’écrire correctement les nombres, d’accéder aux stratégies du calcul mental (décomposition/recomposition des nombres), de comprendre les sens de la retenue dans les opérations et de faire le lien avec les unités de mesure (exemple : mètre, décamètre, hectomètre...). Groupements Les élèves sont généralement capables de réaliser des groupements de dix (capacité à dénombrer et à regrouper ensemble dix éléments d’une collection). La réelle difficulté réside dans le fait de voir le lien entre les groupements de dix et l’écriture des nombres. En effet, il faut être capable d’adopter un double point de vue sur « dix », le considérer à la fois comme dix petites unités (dix cubes de un) et une unité d’ordre supérieur (la dizaine), et réaliser que vingt, c’est deux dizaines, soit deux dix. Cette compétence est cruciale pour comprendre la numération décimale. Les multiples représentations du nombre Dans cette unité, il est nécessaire que les élèves voient les nombreuses représentations de chaque nombre. Exemple : désignation orale et écrite du mot-nombre « onze », écriture symbolique en chiffres arabes « 11», représentation en barres avec des cubes multidirectionnels (une barre de 10 et un cube en plus), décomposition 10 + 1, bande numérique, etc. Cela leur permettra d’avoir une vision complète de la notion de dizaine, car toujours rattachée à des repré- sentations concrètes, semi-concrètes puis abstraites.

Objectif(s)

Dans cette unité, les élèves apprennent à lire, écrire, comparer et représenter les nombres jusqu’à 20. Les mots-nombres et l’écriture chiffrée sont toujours reliés à la notion de quantité afin que les élèves donnent du sens aux apprentissages. Cette unité permet également de présenter aux élèves le système de numération décimale de position, qui se traduit par la découverte de la signification des chiffres dans l’écriture des nombres avec un travail sur les groupements. Lire, écrire, comparer et ranger les nombres jusqu’à 20

Séances :

  1. Observons l'image.
  2. Comptons et comptons à rebours
  3. Comptons en faisant un groupe de 10
  4. Comparons les nombres
  5. Comparons et ordonnons nombres - 1
  6. Comparons et ordonnons nombres - 2
  7. Ce que j'ai appris