Les peuples de la Gaule

Demander aux élèves ce que représentent ces deux documents.
=> carte de la France et la carte de la Gaule.

Réflexion collective sur les questions puis les élèves écrivent la réponse sur leur feuille. Réponse qui est copiée au tableau.

Question 1 : Demander aux élèves de préciser les critères leur ayant permis d'identifier la carte de la Gaule. Exemples : la reconnaissance de la "forme" de la France sur la carte b, les noms des peuples sur la carte a.

Expliquer que le nom de "Gaule" désigne un territoire occupé par un ensemble de tribus de cultures proches. La plupart des tribus étaient d'origine celtique.

Question 2 : Marquer sur la carte notre région. Recopier le nom du peuple gaulois : les Parisii.

Question 3 : Demander à des élèves de lire à haute voix les noms des peuples qu'ils ont sélectionnés. Préciser qu'il y a une cinquantaine de tribus différentes en Gaule mais que seules les principales sont indiquées sur la carte.

Préciser que ces tribus étaient indépendantes, chacune d'elles avait un chef et une armée. Il n'y avait donc pas d'unité nationale comme aujourd'hui. Les conflits étaient donc fréquents.

Question 5 : C'est la ville de Marseille. Cette ville était importante car son port permettait de commercer avec tous les pays méditerranéen.

Question 6 : La comparaison des 2 cartes montre que Lutèce est devenue Paris. Le peuple gaulois habitant Lutèce se nommait les Parisii.

Observation du plan. Hypothèses des élèves.

Question 1 : Mettre en couleurs le plan au tableau en suivant le code de la fiche question. Vérifier que les élèves ne se trompent pas sur leur document.

Question 2 : L'emplacement est bordé de deux rivières, ce qui constitue une sorte de barrière naturelle permettant de controler l'accès au site.

L'emplacement est aussi situé en altitude ce qui permet de mieux surveiller les environs et de mieux se défendre en cas d'attaque.

Question 3 : Demander aux élèves pourquoi les fortifications ne sont plus nécessaires aujourd'hui en France ? => on ne risque plus d'être attaqué par l'armée d'un département voisin (unité nationale), en cas d'attaque par une armée ennemie des fortifications seraient inutiles face aux armes actuelles.